
Les évolutions de la SM
Les évolutions de la SM
De 1970 à 1975, les SM sont uniquement produites en version coupé à carrosserie à deux portes (12 920 exemplaires). Et cela, même si une production de 4 portes avait été sérieusement envisagée (plan de carrosserie étudié par Chausson). Les SM à quatre portes n’ont été réalisées qu’en très petites quantités par le carrossier Henri Chapron de Levallois (7 exemplaires). Il construisit aussi 7 exemplaires d’un cabriolet baptisé Mylord. Sans oublier les deux SM découvrables faites pour la Présidence de la République.
De 1970 à 1972 : la SM est commercialisée en version carburateur : 2670 cm3, 170 ch et vitesse maximum de 220 km/h.
De 1972 à 1975 : la SM est commercialisée en version injection électronique (système Bosch) : 2670 cm3, 178 ch et vitesse maximum de 228 km/h.
De 1971 à 1975 : la SM est aussi commercialisée en boîte de vitesses automatique. C’était pour répondre à la demande du marché américain qui était alors le troisième pour la SM (juste derrière l’Italie). La SM est proposée avec une option boite automatique à partir d’octobre 1971. C’est une boite automatique à trois vitesses d’origine Borg-Warner d’abord montée avec le moteur 2 670 cm3 des SM à carburateurs. En fonction des rapports de cette boite, la vitesse maximale approche à peine les 200km/h. Pour remédier à cet inconvénient, il est décidé de marier la boite automatique avec un moteur de plus forte cylindrée (2 965 cm3), toujours alimenté par trois carburateurs Weber. Ce moteur a une puissance de 180 ch. Cette version, d’abord réservée au marché américain, est proposée en Europe à partir d’octobre 1972.